Accident de carrière
Le 6 mars 1909 vers onze heures du matin ; le Sieur Louis Cathalinat, garde champêtre et tailleur de pierres travaillait à la carrière de Mr Processe quant tout à coup d’un éboulement, un bloc de pierres tomba du haut du terrassement sur la tête de Cathalinat qui était dans un état désespéré. Les témoins de l’accident partirent en toute hâte chercher un médecin à Nay mais ils n’en trouvèrent pas.
Accident de voiture
Dans l’après midi du dimanche 28 mars 1909, vers cinq heures, un accident de voiture dont ont été victime les deux sœurs Joséphine et Thérèze Arriulou du hameau d’Arros et leurs fillettes âgées l’une de neuf ans et l’autre de six mois, est survenu à la descente de la cote du haut de nay. La mécanique de la voiture ayant cassé, le cheval s’emballa et poussé par le véhicule il descendit la côte à toute vitesse. A moitié rampe la voiture heurta un poteau des fils électriques et le cheval s’abattit renversant la voiture et projetant à quelque distance les quatre personnes. On accourut à leur secours et si Thereze et les deux fillettes furent relevées sans aucun mal, Joséphine moins heureuse avait l’épaule fracturée et fut soignée empressément par le docteur Lacq.
Foudre mortelle
Dans l'après midi du jeudi 28 juillet 1910 vers six heures et demi du soir, un orage éclatait accompagné d'éclairs et de grondement de tonnerre . Au cours de cet orage la femme Sabatté né hourcade agée de 60 ans qui s'était réfugiée sous un châtaignier fut tuée par le fluide à quelques mètres de son domicile. Son cadavre ne fut trouvé que le lendemain par de jeunes écoliers se rendant à l'école. Les autorité se sont rendus sur les lieux et le cadavre a été ramené à son domicile.
Accident de travail
Le mardi 10 novembre 1910 dans l'après midi, le nommé Birouste d'Arros en travaillant à la construction d'un canal à Nay a fait une chute et s'est fracturé la jambe. Le docteur Douste- Blazy appelé en toute hâte a procédé à la réduction de la fracture.
Feu de grange en février 1911
Dans la nuit de jeudi à vendredi vers 11 heures et demi, un incendie s’est déclaré dans un immeuble servant de grange, appartenant à Mr Barrailh, maréchal ferrant à Arros. l’alarme donnée par la famille Bergé, les secours s’organisèrent pour préserver les immeubles voisins et vers trois heures du matin tout danger était conjuré. De l’immeuble incendié, il ne reste plus que les murs calcinés ; quelques poules et des jeunes agneaux ainsi que toute la récolte d.es foins de l’année ont été la proie des flammes. L’immeuble serait en partie assuré
Grave accident
Le 19 juillet 1911, le nommé Latapie Bernard, fermier de M.Miramon a été renversé par un portail qui lui est tombé sur le corps. Le docteur Lacq, appelé, a constaté une grave blessure à la tête et une fracture de la cuisse droite.
Mort subite
Le jeudi 27 aout 1911 vers deux heures de l'après midi, pendant qu'il prenait son repas, le nommé Laurent Cabalé époux de Marie Harclup-Vigneau, tailleur de pierre et âgé de soixante huit ans est tombé inanimé.
Janvier 1912, morsure
La jeune Marie Jacoumet d’Arros en sortant de l’école a été mordue cruellement au bras et à la jambe par un chien appartenant à Mme Olibé. Les soins les plus empressés ont été donnés à la jeune victime.
Mordu par un chien
Le 29 Mars 1912, le jeune Sabatté, âgé de quatre ans a été cruellement mordu au poignet et renversé à terre par un chien appartenant à Mme O. Le mois de janvier dernier un accident identique dont fut victime le jeune Caubios en sortant de l’école par le même chien. Cette méchante bête fait courir de grands risques aux paisibles passants.
Noyade
Le mercredi 27 mars 1912, vers huit heures et demi du matin, le nommé Leme du hameau d’Arros, un vieillard de quatre vingt trois ans venait consulter le docteur sur une maladie incurable dont il souffrait depuis longtemps. Effrayé des progrès de cette maladie, on croit qu’il a voulu mettre fin à ses jours en se jetant dans le canal près de l’électricité. Retiré presque aussitôt il a cependant succombé. La police avertie s’est transporté sur les lieux. Le corps a été hospitalisé par ses soins dans une salle de la halle.
Accident de charrette
Le samedi 3 mai 1913, le nommé Jean Baptiste Graciette d’Arros, après avoir déchargé une charrette de planches s’en retournait chez lui quand dans la rue des remparts à Nay les vaches effrayées par un chien ont pris une course folle , trainant à terre le conducteur qui reçu au front et à la tête de forte blessures. Le sang coulait en abondance et les soins que nécessitait son état lui ont été donnés à la pharmacie Maupeu.
La famille Graciette, était arrivée à Arros en 1849 suite au mariage de Victor Graciette domestique d’Arthez d’Asson avec Jeanne Fees de Nay alors journalière et domiciliée au village.
Cheval emballé
Un mercredi d'avril 1914, vers sept heures du matin, la dame L. de la commune de Pardies, laissait seul dans la rue Gambetta à Nay son cheval attelé à une voiture sur laquelle se trouvait une fillette d’environ trois ans pendant qu'elle se livrait à quelques achats dans un magasin. Tout à coup, l’animal effrayé partait à vive allure semant la peur parmi les nombreux ouvriers se rendant au travail. A l’entrée de la place Saint-Roch, le nommé Jean Baptiste Puyoo, laitier à Arros s’est jeté résolument à la tête de l’animal et est parvenu à le maîtriser. La fillette a eut plus de peur que de mal.
Mortelle descente
A minuit et demi, se sont présentés au poste de la rue Carnot deux paysans qui ont dit se nommer Sarraillé Bernard, 58 ans et Castaing Pierre, 56 ans les deux propriétaires à Sauvagnon ; ils ont fait la déclaration suivante : Vendredi soir, vers 9 heures, un militaire descendait la côte de Sauvagnon à bicyclette à une très vive allure. Arrivé presque en bas de la côte il a heurté une femme de Sauvagnon qu’il a renversée mais qui peu contusionnée, a pu continuer sa route. Quant au militaire il est tombé sur la tête. Relevé sanglant et sans connaissance, il a été couché sur une jardinière et transporté à l’hôpital de Pau. Admis aussitôt, le blessé a reçu les soins vigilants et éclairés du docteur Bordenave. Les papiers retrouvés dans les poches du militaire ont permis d’établir son identité ; c’est le nommé Riupeyrous Jules, soldat au 4ème chasseur d’Afrique, natif de la commune d’Arros. L’état du malheureux est grave et au moment de mettre sous presse on apprend que l’infortuné Riupeyrous est mort sans avoir repris connaissance.
Glissade
Le 29 janvier 1918 Jean Tisné d'Arros a glissé sous un char et a eu la jambe gauche fracturée. Il a été transporté à l'hôpital de Pau pour y être soigné.
Accident à Nay
Le mardi 4 février 1919, jour de marché vers 7 heures du soir, un cheval appartenant à Mr Domecq dit Baccabara du hameau d’Arros et monté par le propriétaire fut tamponné place Saint Roch par la voiture de Mr Claverie, commissaire à Coarraze, qui venait en sens inverse. Le choc fut si violent que le brancard de la voiture pénétra dans le poitrail de la bête qui fut tué sur le coup.
Accident mortel
Mai 1921, un paysan du hameau d’Arros se retirait du marché de Nay quant sur la route de Bourdettes son cheval s’emballa. Devant l’allure désordonnée, les voyageurs sautèrent sans se faire aucun mal ; mais à l’entrée de Bourdettes, la femme Jouandet reçut un violent coup de brancard qui lui enfonça une côte et lui perfora le poumon. La malheureuse ne tarda pas à expirer.
Accident ou suicide
Le lundi 14 novembre 1921 à 11 heures du matin , on trouvait devant la grille de l'usine textile de Mirepix, le cadavre d'un nommé Béchat (autrement Béchacq), du hameau d'Arros. La gendarmerie de Coarraze appelée par le maire de Mirepeix se transporta sur les lieux, ainsi que le docteur Mourat, commis à cet effet, qui conclut à un accident ou un suicide.
Dans la matinée on avait vu Béchat dans un débit de Nay et, en cas de suicide, rien ne faisait prévoir sa fatale décision.
Accident de "chasse"
Un dimanche matin d'octobre 1922, le jeune René Arriulou âgé de 17 ans de la commune d'Arros se trouvait en partie de chasse avec un de ses camarades. A un moment donné, ayant aperçu un... écureuil, il fit feu et blessa l'animal. Voulant l'achever, il eut la malencontreuse idée de le frapper avec la crosse de son fusil qui était encore chargé. Le coup parti et fit exploser une boite de poudre que le jeune imprudent avait dans la poche de son veston. Il eut la partie supérieure de la cuisse fortement brulée. Transporté à l'hôpital de Pau dans un état grave, le jeune Arriulou dut subir une opération chirurgicale.
Coupure grave
Septembre 1923, une fillette de 8 ans, Mlle Barrère, allait chercher un litre de cidre chez un voisin , lorsqu’elle a trébuché. En tombant elle a brisé la bouteille et les éclats de verre lui ont coupé le tendon du poignet droit. La jeune blessée a été transportée à l’hospice de Pau pour des soins chirurgicaux.
Accident de vélo
Le dimanche 18 mars 1923, vers cinq heures et demi, Mlle Bergeret des Labassères revenait à bicyclette de promenade quand elle fut renversée par Blanquet Eugène qui se rendait chez Baradat où Mr Echaas- Tourné avait organisé un petit concours de tir au fusil de chasse avec un agneau comme enjeu.
La jeune fille eut deux dents cassées et Blanquet s’en tira avec un trou à la tête, le nez endommagé et quelques ecchymoses aux genous.
Encore un accident de vélo !
Mme Arbes Agnes dite Lacrouts du hameau d'Arros se rendait mardi 10 juillet 1923 au marché de Nay quand elle fut prise en écharpe, à la côte Celeste, par un bicycliste qui travaillait depuis quelques jours dans une ferme des Labassères. Mme Arbes, âgée de trente ans et qui allaitait un bébé de trois mois fut si violemment projetée à terre qu'elle se fit une profonde blessure au crane. M. le docteur Mourat appelé en toute hâte se rendit sur les lieux et procédat aux pansements les plus urgents et la blessée, dont l'état paraissait assez grave fut ramenée à son domicile en automobile. Dans sa chutte le cycliste se blessa assez sérieusement au genou.
Accident de charette
1923; Une marchande de légumes, connue sous le nom de Marie Lacau, du Hameau des Labassères à Arros fut victime d'un accident le dimanche matin vers 6 heures et demi. En arrivant devant le café Bourgeacq, une roue se détacha de la voiture et dans sa chute Marie Lacau se contusionna assez sérieusement pour qu'on dut appeler le docteur Mourat, mais cet accident n'aura pas des conséquences graves.
Omelette
Un mardi de juin 1924,vers 13 heures, un bon vieux du hameau des Labassères d’Arros nommé B…, se rendait à pied au marché avec un panier d’oeufs qu’il tenait à la main quand, voulant se garer d’un cycliste qui descendait la côte du haut de Nay, il fut accroché et ses œufs mis à mal.
Au feu !
Le dimanche 12 mars 1924, vers deux heures et demi de l'après midi, la population d'Arros fut intriguée par une épaisse fumée qui s'élevait au dessus des collines qui séparent le bourg du bois de Bié. L'alarme fut aussiôt donnée et une équipe de volontaires avec des pelles et des haches se rendit sur les lieux et maitrisa le feu qui s'était déclaré dans les touyas,particulièrement dans le quartier des Labassères. Plus de vingt chars de litière étaient devenus la proie des flammes. On supposa qu'un fumeur imprudent avait été la cause de cet incendie.
Tremblement de terre en 1924
Le vendredi 22 février à six heures du soir et le lendemain matin des secousses se firent sentir dans la région de Nay. On signala dans la plaine quelques dégats comme à Asson ou une grange s'etait effondrée et à Arros la démolition de deux ou trois cheminées. A l'école des Labassères, c'est une partie du plafond qui a failli tomber sur les élèves.
Chute de poulailler
Le vendredi 1er février 1924 vers huit heures du matin, Mm veuve Cathalinat, âgée de soixante douze ans, voulant monter au poulailler a glissé sur un bareau de l'échelle et une jambe s'est trouvée engagée entre deux barreaux ce qui détermina la fracture du tibia. Le docteur Douste appelé en urgence à Arros réduisit la fracture.
Mordu par un âne
Novembre 1925; pendant qu’il donnait à manger à son âne, un laitier d’Arros a été cruellement mordu par celui ci au genou. La blessure est assez grave et il se peut que la guérison ne soit jamais complète
Accident de carrière
Le 14 aout 1926 au matin a été hospitalisé Henri Majoureau, 32 ans, carrier au hameau d'Arros, brulé aux jambes et sur différentes parties du corps, les doigts de la main droite emportés par suite de l'éclatement subit d'une mine.
Incendie et accident
Une nuit de février 1927, le feu a pris dans les soutrages communaux d’Arros et les bâtiments d’une métairie appartenant à M. le Baron d’Espalungue se trouvaient particulièrement menacés. Plusieurs personnes se sont transportées sur les lieux pour combattre l’incendie et le nommé Montamat Louis, garde champêtre, dans sa lutte contre le feu qui gagnait sur lui, est tombé en arrière dans un profond fossé et si malencontreusement qu’il s’est fracturé un os du bassin. Le docteur Douste de Nay appelé aussitôt a ordonné son transport à l’hôpital de Pau.
Orage
Le vendredi 21 mai 1927 vers 19 heures, un assez violent orage a éclaté au dessus du bourg. La foudre est tombé sur le clocher et a occasionné un léger incendie qui a été rapidement éteint. Tout se borne à des dégâts matériels heureusement de peu d’mportance
"Cheval fou"
Mars 1927, un cheval emballé fait quatre victimes Vers 16 heures à la fin du marché dans la rue Thiers et à la hauteur du restaurant Arrestouilh, un cheval que l’on attelait dans la cour de cet établissement s’est brusquement emballé renversant son propriétaire d’Arthez d’Asson qui voulait le retenir et qui dans sa chute reçut de fortes contusions au front et à l’oeil. Tournant au portail brusquement à l’angle droit dans la direction du haut de Nay, l’attelage libre a heurté trois jardinières que la violence du choc a projeté à terre dont les occupants furent gravement blessées. Les docteurs Moura et Lacq appelés ont prodigué leurs soins aux blessés Parmi les blessés se trouvent : Mme Espiaube de Lys avec un poignée cassé et des contusions sur le coté droit ; Mme Germaine Arrioulou du Haut de Bosdarros avec de fortes contusions sur tout le corps ; Mme Léonie Laguillon des Labassères d’ Arros la plus sérieusement touchée , resté sans connaissance et qui a dû être transportée chez elle en automobile.
Orage
Une nuit de juin 1932, au cours d’un violent orage, la foudre est tombé sur le clocher de l’église faisant quatre grandes ouvertures dans la toiture. Quelques instants après la foudre déchiquetait trois poteaux de la ligne électrique et faisait fondre les plombs du transformateur. Le lendemain, un nouvel orage éclatait dans la soirée. Un gros sapin fut foudroyé. De véritables trombes d’eau s’abattaient, mêlés de grêle. La vigne et le maïs ont été très abîmés et les terres ravinées sur les côteaux
Moun de Rey en feu en mars 1932
Un incendie s’est déclaré mardi vers 2 heures de l’après midi dans les touyas et fougeraies du « Moun de Rey ». Les flammes ; activées par un vent violent, ont progressé avec une grande rapidité, et malgré les efforts d’une cinquantaine de personnes au son du tocsin une vingtaine d’hectares de touyas et fougères ont été brûlés. Un certain nombre de chênes de la propriété Langladure ont été également endommagés. Vers dix huit heures l’incendie était définitivement maîtrisé. A cet époque de l’année, nous ne saurions trop recommander la prudence aux chasseurs, aux promeneurs et même à ceux qui pour détruire les ronces et genévriers y mettent le feu sans s’assurer si toute les précautions sont prises pour éviter sa propagation.
Une noyée dans le canal
Le dimanche 4 septembre 1932, tandis qu’il se promenait le long du canal appelé « gabbiot » à Arros Henri Palette, le jeune frère de ma grand-mère alors âgé de 21 ans, aperçu un corps accroché à des racines. Il fit alors part de sa découverte à quelques personnes qui se trouvaient à proximité et Mr Camps retira de l’eau le cadavre d’une femme que son état de décomposition assez avancée ne permit pas d’identifier. Selon l’enquête de la gendarmerie la mort paraissait remonter à 15 jours ou 3 semaine et n’ayant pas été signalé de disparition de personne dans la commune ni dans la région on pensa alors qu’il pourrait s’agir d’une étrangère en pèlerinage à Lourdes
"Perrette" d'Arros
Le mardi 5 janvier 1932, une fermière d'Arros se rendait au marché de Nay en compagnie de ses deux voisines dans une voiture "jardinière" chargée de légumes, fruits et oeuf quand en haut de la cote de Bourdettes la ventrière s'etant rompue, la voiture se dressa sur son arrière, brancard en l'air vidant ainsi la caisse de son contenu. Le cheval et la voiture étaient arretés quelques mètres plus loin par un passant. Les ménagères se relevaient, elles fort émues mais non blessées au milieu des courges écrasées, des légumes souillés et piétinés et la plantureuse omelette épandue parmi le dégel de la route.
Actes de probité
Le 13 janvier 1932 alors qu’elle se rendait à Nay, Mme A… du hameau d’Arros s’aperçut en cours de route qu’elle avait perdu son portefeuille contenant 4200 francs. Elle rentra désolée à la maison mais elle eut l’heureuse surprise d’y retrouver le portefeuille perdu. Un jeune homme du bourg, Marcelin Cathalinat l’avait ramassé sur le chemin et grâce à un reçu qu’il contenait il put retrouver le nom de la perdante et s’était empressé de le remettre à domicile.
Kermesse (Juillet 1934)
Dimanche prochain, sous les ombrages du château d’Arros, aura lieu une kermesse qui promet de donner quelques heures de joie à la population d’Arros et des environs. Dans un cadre enchanteur, aimablement ouvert à tous par M. le Baron d’Espalungue, des comptoirs variés et des attractions nombreuses attendront les visiteurs qui n’auront pas à regretter leur déplacement.
Un berger tué par l’écroulement d’une grange
M. Ompraret J.M originaire de Arbéost, marié et père de 4 enfants, propriétaire d’un troupeau de moutons avait loué la métairie Cabarry aux Labassères d’Arros du 25 octobre 1935 au 15 janvier 1936. Le 13 novembre vers 9 heures 30 au moment ou il détachait son âne, la grange qui menaçait ruine s’effondra subitement. M. Ompraret n’eut pas le temps de sortir et fut écrasé par les matériaux et le fourrage. Malgré la rapidité des secours il ne put être dégagé qu’après une heure d’effort. Il était trop tard.
Accident "bête"
Le samedi 19 décembre 1935 dans l'après midi, Mr Martin Lanusse a été victime d'un grave accident. En raison de la température,il avait couvert une vache au moyen d'une couverture fixée par une corde dont l'extrémité trainant sur le sol formait un noeud coulant. La vache, en marchant, engagea un sabot dans le noeud. Mr Lanusse leva la patte de l'animal afin de le dégager mais la bête perdit l'équilibre et tomba sur l'infortuné cultivateur qui ne put reculer à temps. La victime s'en sorti avec une côte cassée et quelques contusions.
Drame familiale
Le mardi 16 juin 1936, vers 16 heures, le jeune Pétroix d'Arros était occupé à couper du foin lorsque son frère Louis âgé de 14 ans passant près de lui se blessa grièvement au pied avec la faux. A l'hôpital de Pau ou le bléssé fut transporté on constata qu'il avait le tendon sectionné. Le jeune Louis décède de ses blessures quelques jours plus tard à Nay